Deux-mille-vingt-deux

Deux-mille-vingt-deux ;

L’on s’attendait à mieux en ce début d’année.

Est-ce la poudre aux yeux, jetée en quantité

Par nos « grands » dirigeants, qui aveugle les gens ?

Où se sont égarées nos valeurs élevées

Inscrites dans le marbre par d’illustres aînés ?

Notre belle devise serait-elle oubliée ?

Et tous nos frontispices seront-ils saccagés

En burinant ces lettres, à la feuille dorées,

Que nos prédécesseurs se sont donné pour nous

La peine de sculpter ?

À présent qui dit mieux ?

Dans cette surenchère de moyens déployés

Comment ne pas comprendre que l’on nous a trompés ;

Et qui va empocher ces profits insensés ?

Un pays qu’on abat, un peuple que l’on nie,

Des milliards dépensés qui sont pure folie…

Où étaient-ils cachés quand certains réclamaient

Juste de quoi manger et vivre dignement,

Ou de quoi travailler avec humanité,

Dans les règles de l’art et le respect des gens ?

Où sont donc ces élus censés nous protéger,

Non de la maladie, mais de lois insensées ;

Et tous ces garde-fous, toutes ces assemblées,

Tous ces conseils de « sages » censés être garants

De l’impartialité des décrets que l’on prend ?

Bon sens et probité, cela n’est plus de mise ;

En les laissant agir si longtemps à leur guise,

Nous leur avons donné les clefs de la nation

Mais, par leur déshonneur, quand viendra le moment,

Ils se verront jugés pour haute trahison.

Au grand bal des démasqués

Au grand bal des démasqués, il y aura foule ;

Ceux qui auront propagé de fausses rumeurs

Ceux qui auront diffusé le fiel de la peur,

Ceux qui auront camouflé de graves erreurs

Ceux qui auront diffamé les libres penseurs

Au grand bal des démasqués, il y aura foule ;

Ceux qui auront isolé les êtres dociles

Ceux qui auront paniqué les êtres fragiles

Ceux qui auront piétiné les serments prêtés

Ceux qui auront menacé notre intégrité

Au grand bal des démasqués, il y aura foule ;

Ceux qui auront profité d’un petit pouvoir

Pour imposer sans complexe leur façon de voir,

Ceux qui nous auront poussés par tous les moyens

À nous laisser injecter leur pseudo vaccin…

Passe-passe

– À A. –


Toujours plus de pression, chantage, répression,

Ou tirs sans sommation. Mais jusqu’où ira-t-on ?

Quand réagira-t-on face aux aberrations

D’une guerre larvée qui ne dit pas son nom ?

Quand allons-nous sortir de la sidération,

De la résignation et de la soumission ?

Pour garder la santé il faudrait s’enfermer,

Il faudrait se masquer, ne plus se côtoyer,

Se toucher, s’embrasser, pendant quelques années ;

Il faudrait accepter de se faire injecter,

Sans plus s’interroger, tous les cinq ou six mois,

Un produit qui n’a pas tout à fait terminé

Sa période d’essai mais qui, malgré cela,

Fait de nombreux dégâts.

Faudra-t-il que l’on perde toutes nos libertés,

Dont celle de penser avec discernement ;

Ne pas remettre en cause chacun des boniments

Qu’au quotidien martèlent des cerveaux aveuglés

Par la duplicité, pourris par la gangrène

Des conflits d’intérêt,

En laissant des enfants, qui ne sont pas touchés,

Supporter sans broncher la culpabilité

D’être ainsi désignés comme boucs émissaires

Dans cette société en perte de repères

Qui préfère ordonner, contraindre, condamner,

Et expérimenter sur leur jeune existence

Les « progrès de la science », plutôt que de donner

Les soins appropriés et de mieux renforcer

Toute l’immunité d’un peuple malmené ?

Nous autres, descendants d’une France éclairée,

Qu’avons-nous laissé faire en ouvrant sans prudence

La boîte de Pandore, quand, pour contrer la mort

Qui sera là demain, que ça nous plaise ou non,

L’on sacrifie la vie d’une population

Et ce qui fait de nous de vrais êtres humains ?

Soyons sourds aux sirènes qui viennent susurrer

Ce que l’on doit penser, nous isolant des autres

Pour mieux nous contrôler, et rejettent la faute

Sur ceux qui n’ont rien fait, pour mieux nous diviser.

Que chacun puisse agir en son âme et conscience,

Gardant les pieds sur terre et l’esprit en alerte,

Libre de décider de ce qu’il a à faire

Surtout quand le « remède » est aussi peu fiable.

Restons bien vigilants, cherchons la vérité,

Défendons sans relâche la part d’humanité

Guidant nos existences pour mieux nous épauler ;

Protégeons nos enfants, préservons le vivant.

Un jour ordinaire

Séismes dévastateurs
Et tempêtes déchaînées,
Inondations meurtrières,
Fonte de nos grands glaciers
 
La sylve part en fumée
Derrière un rempart de flammes ;
Combien d’âmes étouffées,
Combien de sinistres drames
Laissent nos cœurs ébranlés ?
 
Où sont passées les abeilles ?
L’homme empoisonne la terre,
Les océans, les rivières,
Polluant jusqu’à l’espace,
Projetant d’autres menaces
Sur cet avenir plombé
 
La corruption prend ses aises
Et gangrène le système,
La faim, la peur et la guerre
Laissent des lieux désolés,
Kaboul n’a pas résisté…
 
C’est un jour ordinaire
Sur la planète Terre.