– À ceux qui ne voient pas, n’entendent pas, ne parlent pas ; car il ne suffit pas d’ignorer les souffrances d’un peuple pour les faire disparaître…
Merci d’ouvrir les yeux, les oreilles et la bouche pour empêcher le désastre humanitaire qui se prépare en Artsakh et en Arménie, à bas bruit. –
Dans quelle société sommes-nous arrivés
Pour laisser massacrer un peuple sans bouger
Ou si peu, à regret, pour mieux se décharger
D’éventuelles bouffées de culpabilité
Des femmes, des enfants, des vieillards désarmés,
Une génération sous les bombes tombée
Entre armes prohibées et drones assassins
Et ne me dites pas que c’était le destin