L’on voudrait soigner des corps
Sans tenir compte de l’âme
Et l’on se surprend encor
À se retrouver bancal
Comme s’il était faisable
De scinder son être en deux,
Séparant le corps et l’âme,
Sans perdre un peu de la flamme
Joyau clair et radieux,
Intime partie d’un tout,
Animant chacun de nous