Peut-être aimerez-vous ces vers
Que je vous offre, après l’hiver,
Car je les ai écrits pour vous,
Et tous ceux qui sont assez fous
Pour plonger dans la poésie
Comme on s’immerge en un pays
Dont on entr’aperçoit la terre.
Peut-être aimerez-vous ces vers
Qui vous parlent d’un univers
Né du soleil et de la pluie,
Ne faisant pas beaucoup de bruit,
Mais recelant tant de richesses
Et portant nos espoirs en lui,
Au milieu de cette folie
Qui plombe tant de fois nos vies.
Peut-être aimerez-vous ces vers,
Vibrant au rythme des saisons.
Je les ai glanés patiemment
Jusque sur les ailes du vent
Pour partager ces horizons,
En éclairant de poésie
Le cours des jours, l’ombre des nuits.
Bien sûr que l’on aime ces vers qui nous ouvrent les yeux sur les foisonnantes beautés d’un monde qui nous paraît pourtant si souvent submergé par le malheur et la violence aveugle. Merci pour ce regard émerveillé si communicatif, Laurence.
Quelle joie de découvrir ce matin votre réponse empathique et enthousiaste !
Merci beaucoup !
Je suis ravie que ces vers vous plaisent, car ils couvrent une large palette des sujets qui me touchent et m’inspirent, dans les différentes tournures poétiques qui s’imposent à moi.
Je lève mon verre à la poésie, et à la santé de mes lectrices et lecteurs, en vous souhaitant le meilleur !