– À Dorotea –
Une voix d’ange dans le métro
C’est l’espérance d’un jour nouveau ;
La liberté ouvrant ses ailes,
Le chant d’une âme qui se révèle
– À Dorotea –
Une voix d’ange dans le métro
C’est l’espérance d’un jour nouveau ;
La liberté ouvrant ses ailes,
Le chant d’une âme qui se révèle
– À T. L.-C. –
Lorsque le ciel flamboie,
Devant tant de beauté
Qui nous laisse sans voix,
Que peut-on ajouter ?
Il faut juste se taire,
Se taire et admirer
Les trésors que la Terre
Nous offre sans compter
Et laisser la beauté
Dans notre âme infuser
– À T. L.-C. –
Vues à couper le souffle ;
Dans les reflets changeants
Des célestes mouvances
Des nuageuses danses,
Embrassant la surface
À la glaçure plane
De platine et d’argent
D’un liquide miroir
Où jouent en transparence
Les nuances du temps ;
Dans le jour virtuose
Et le soir qui compose
D’intenses fééries,
Fleurit la poésie
– À Hovhannès Haroutiounian –
Un soir entre les dunes, j’aperçus le tableau
De charmantes baigneuses qui marchaient dans les vagues,
Naïades dévêtues qui sortaient hors de l’eau
Tandis que l’onde pure ruisselait sur leur peau
Un soir entre les dunes, je découvris la grâce
De tendres jeunes femmes flânant sur le rivage,
Le soleil doucement leur caressait le corps
Ombrant leur silhouette d’une lumière d’or
Un soir entre les dunes m’apparut cet éden,
Dont je garde en mémoire la délicieuse scène,
De vénus qui venaient se glisser comme reines
Sous la cape rosée de ce jour en déclin,
L’océan bleu lavande leur faisant un écrin
D’après l’œuvre de Hovhannès Haroutiounian :
Sur la plage, huile sur toile, 27 x 35 cm. 2020.
Vibrer aux voix habitées
D’inoubliables poètes,
Bercé des mots et des vers
Qui inspirent nos pensées,
Et se laisser transporter,
Ému par tant de beauté