– À Thierry L.-C. –
Ascension solitaire au cœur du Pays basque
D’un grimpeur amoureux de ses chères montagnes ;
Des ciels majestueux, jusqu’au papillon brun
Qui passe en voletant lui effleurer la main
Le silence absolu, l’apaisement total,
Troublé de temps en temps par la chanson du vent
Ou le tintement clair des cloches de métal
D’un groupe de pottoks qui broute librement
Ces vastes pâturages riches d’une herbe grasse
Qui s’étend alentour et verdit les sommets ;
Merveille des hauteurs à l’horizon bleuté
Où le soleil s’échappe de nuées argentées.