Théâtre d’ombres

                 matins mornes

après les illusions

et les mensonges de la nuit


à la fenêtre, les arabesques  

à l’encre de Chine

                   du grand frêne,


immense toile d’araignée

d’un théâtre d’ombres

sur fond de ciel d’hiver,


dans une lumière cendrée


précédant les splendeurs 


                         de l’aurore



Poème de Jped
Lien direct du poème

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *