Vous qui volez sous mes fenêtres
J’aime vous regarder passer,
Légers comme des hirondelles,
Sans jamais que vous n’arrêtiez
Vos courses folles dans le ciel,
Vos tournoiements dans les nuées
Ponctués de battements d’ailes,
Avant de vous laisser porter
Sur d’invisibles courants d’air,
Sans jamais venir vous poser.