Traînées roses dans l’azur
Et le soleil s’aventure
De l’autre côté des toits…
Le jour peu à peu décline,
Lors le soleil illumine
Les murs, encore une fois.
Le rose s’évanouit
Le bleu du ciel s’assombrit,
L’ombre découpe et détache
La silhouette des arbres.
Le théâtre de la nuit
A entrouvert son rideau ;
Les lumières qui scintillent,
Éclairant ce chapiteau,
Offrent un décor nouveau.