Je plaide pour l’Artsakh, cette terre arménienne,
Qui lutte vaillamment depuis bien trop de temps,
Payant un lourd tribut en dignes vies humaines
Des bergers isolés aux soldats méritants
 
Je tremble pour l’Artsakh, notre alliée pourtant,
Cédée par un tyran à la fin d’une guerre
Pour quels sombres desseins, quel odieux stratagème,
Présageant des tempêtes dans les siècles suivants
 
Je pleure pour l’Artsakh, courageuse et rebelle,
Offerte à ceux-là même qui ont fait tant de mal ;
Saccageant ses églises fièrement édifiées
Et ses khatchkars témoins d’un glorieux passé
 
Je souffre pour l’Artsakh, dont on nie les frontières,
Détruisant en ces lieux des pans de notre Histoire
Pour rayer de la carte, en toute impunité,
Un peuple généreux aspirant à la paix.
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Si tes pleurs pouvaient enfin guérir la soif inhumaine pour que le ciel chante une mélodie, une berceuse pour les coeurs brisés.
Oui, si seulement…