– À mon père –
Un seul coup d’aile et un seul cri
Qui me font relever la tête ;
Un seul regard un peu surpris
En apercevant l’arrondi
D’une faucille fendant l’air
Silhouette dans le ciel gris
Habillée d’un plumage ébène
Qui met le printemps à la fête ;
Les beaux jours commencent à peine,
Les martinets sont de sortie
Et leur présence me ravit