Prélude

l’aube se lève désolée, sur notre monde qui a peur,
certains s’en vont d’autres demeurent ,
bien qu’allongé dans la souffrance,
la vie s’accroche à l’espérance,
l’esprit s’envole en tous ces lieux,
ou l’histoire nous rapproche un peu,
des souvenirs et des images
imprimés sur toutes les pages,
certains s’en vont d’autres demeurent,
la pendule égraine les heures,
pourtant derrière la fenêtre,
le soleil brille et l’herbe est verte,
dans tous les yeux, dans tous les cœurs,
le temps s’enfuit, l’amour demeure !


Poème de Olivier HEBERT
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