J’aime quand tu chantes comme pour toi-même,
Quand la mélodie résonne en ton sein,
Quand les vers jaillissent du fond de ton être
Et que leur musique doucement m’étreint.
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J’aime quand tu chantes comme pour toi-même,
Quand la mélodie résonne en ton sein,
Quand les vers jaillissent du fond de ton être
Et que leur musique doucement m’étreint.
Bonjour et merci pour votre belle sélection de poèmes chère Laurence , l’occasion pour moi de vous souhaitez de bonnes fêtes de fin d’année et je ne résiste pas au plaisir de répondre à votre poème par un des miens qui porte le même titre.
Quand tu Chantes
J’aime quand tu chantes,
Quand les sons de ta voix prolongent la pensée,
Et l’histoire singulière d’un cœur qui espère,
Quand dans un vibrato, au souffle de tes mots,
Le frisson de l’amour vient caresser ma peau,
J’aime que tu chantes, lorsque ton corps se tend,
Comme la corde et l’archet,
Faisant jaillir les notes au-delà des portées,
Insufflant à mon âme l’esprit de liberté
J’aime t’entendre chanter
Les mots d’une passion, une mélodie légère,
Qui parcourt les rues musardant sur la pierre,
Éveillant tous les sens du rêveur solitaire,
Oui j’aime ta chanson,
Me parlant de la vie, en suscitant ma joie,
Du bonheur à l’envie,
Viens fredonner à mon oreille,
Et Donne moi encore à entendre,
La musique si tendre
Qui m’émerveille.
HEBERT Olivier
Merci beaucoup Olivier pour vos vœux, et pour ces beaux vers célébrant l’éblouissement sonore du chant humain, porteur de joie pour celui qui l’entonne autant que pour celui qui le reçoit.
Un cadeau poétique qui me touche particulièrement.
Merci encore et belle soirée à vous !