Douces messes basses…

Ecoute le ruisseau,

Ses douces messes basses

Aux cernes de la sylve,

Juvénile lenteur du silence perdu

Sur un suaire de mousse.

Et la Petite mort comme un tourment ténu

Campe sa solitude

Dans les racines fraîches du heurt qui se coule,

Loin des anhélations d’un monde en collision…


Poème de baccala
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