Douceur de l’air, banc de pierre,
Métal vert, chaises offertes ;
Ton regard posé sur moi
Comme une première fois,
Tes yeux qui ne trichent pas,
Attentifs et amoureux,
Regardant à travers l’être ;
Pris par l’élan impérieux
D’immortaliser la scène.
Chaleur douce d’un émoi
Poursuivant sa tendre quête,
Que le temps n’altère pas ;
L’écho, en toile de fond,
D’un monde en ébullition,
Nos échanges profonds
Et nos âmes sincères ;
La trace de nos pas
Laissée dans la poussière…