Quand, poursuivant ta course à travers les nuages
À des miles de moi, sous des cieux différents,
Quand, le cœur affligé et l’œil brillant de larmes
Tu rejoindras là-bas la famille qui t’attend,
N’oublie pas de venir saluer en mon nom
Ces grandioses montagnes que je connais de nom
Et remercie pour moi, si tu les croises enfin,
Tous les anges célestes, les tendres séraphins
Qui veillent sur nos âmes dont ils sont les gardiens