Octobre exhale
L’esprit inaudible des pétales
A peine oubliés,
Déjà absents.
Octobre exile
L’horizon bleu de nos doigts joints
En équilibre
A l’accore des jours.
Et dans un fredonnement,
La lumière se dissout,
S’éteint,
Aux ouest majeurs.
Le vent sertira-t-il au front des lames
Une tiare d’aigues-marines et de fleurs d’oranger ?
Poème de Anwen
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